L'enfant aux dauphins.

Il arriva par la volonté du très haut.

Les lilas avaient poussés dans le jardin de sa vie,

Plusieurs fois le lilas avait dans le jardin,

Perdu ses fleurs blanches,

Marquant le début du printemps.

L’enfant grandit dans sa tête,

Comme dans son corps.

Il était sortit bien vite par la porte de la vie,

Ce qui fit de lui,

Un enfant un peu particulier.

Un rêve d’enfant il voulait concrétiser,

Vivre parmi les dauphins.

Les apercevoir,

Les touchés.

C’était dur de marcher,

Jusqu’à la mer,

Dans sa "tête" il marchait.

Ce qu’il fit dans son sommeil,

Car « Dame Fatigue » chaque soir,

Le berçait dans ces bras.

Il se retrouva marchant sur les eaux,

Pourtant il n’était pas "Jésus".

Deux « Dauphins » n’ageaient joyeusement,

Près de lui,

L’un s’appelait Amour,

L’autre Liberté.

Il devint un homme,

vécut sa vie.

Et ne put toute sa vie,

Se passé d’Amour, et de Liberté,

Qui étaient à jamais dans son cœur.

Jusqu’à aimé avec «Amour » dans le respect,

« Liberté » authentique vrai pour chacun.

Tout ceux qui avait traversés la route,

De sa modeste vie,

Il ne les avaient pas oubliés.

Chacun possède en lui,

Ce beau sentiment qu’est L’amour,

Mais garde pleinement sa Liberté.

Cette modeste missive,

Pour tout ceux que j’aime,

Ou que j’ai aimés.

Même s’ils m’ont abandonnés,

Pour suivre d’autres routes,

Dans leurs vies.

Affectueusement.

                                           Christian.